Au Tamis, on trouve avant tout des ami.e.s mêlant leurs affinités personnelles et professionnelles dans un espace d’épanouissement laborieux reposant sur une savoureuse alliance de jouissances immédiates et de satisfactions à long terme : échanger, réfléchir, travailler et créer à plusieurs.

histoire collective

Les membres fondatrices du Tamis ont suivi la même école de socio-anthropologie, et ont donné forme et vie à différentes expériences collectives de travail et d’écriture depuis 2009, aboutissant, à l’issue d’une formation
à Intermade, à la formalisation du Tamis en 2012.

« Ce qui nous meut » – sous-titre de nos cheminements collectifs – a constitué le socle à partir duquel construire un positionnement intellectuel. « Ce qui nous meut », ou le désir de s’approprier de manière collective nos champs de connaissance et d’intervention spécifiques, de se réapproprier des mots et des manières de dire, par un travail commun de définition et de construction liant le fond et la forme.

Le noyau du collectif est constitué de socio-anthropologues possédant une riche expérience de travail d’équipe et de montage de projets collaboratifs et créatifs, un réseau d’ami.e.s talentueux et forces de proposition et un ancrage fondateur dans le monde professionnel et académique des sciences humaines et sociales. Autour de ce noyau gravitent autant de t’ami.e.s qu’il nous est donné de faire de stimulantes et fécondes rencontres.

extras

Si les débuts de notre histoire vous intéressent, nous en avons fait un bilan provisoire lors d’une carte blanche à l’Université libre de Bruxelles au printemps 2015, dans le cadre d’une journée d’études de l’AHA – Atelier d’Hybridations Anthropologiques. Documents écrits et sonores à explorer ici.

En 2018, nous avons également publié, sur le blog de la revue Terrain, un texte collectif mêlant des extraits d’entretiens de membres du Tamis et une réflexion sur notre cheminement vers une anthropologie publique (et plus généralement des sciences humaines et sociales publiques) : “À pas de fourmis. Une sociohistoire du Tamis”.

Serrés comme des sardines