Collège d’Administration

Mikaëla Le Meur :
Anthropologue et voyageuse, j’ai jeté l’ancre à Marseille en 2016, après en avoir longtemps fait un port d’attache secondaire. Je travaille avec le Tamis depuis les prémices de l’association, en m’entrainant au grand-écart salutaire entre projets sur la comète et tableaux comptables. Autrement dit, je m’intéresse dans les moindres détails aux modalités de concrétisation de notre utopie collective.
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Mona Lila Yuka :
Anthropologue en fin de thèse et actuellement ATER à l’université Lyon 2, je m’intéresse de longue date à l’anthropologie politique et à ce en quoi l’anthropologie est politique : aux façons de s’impliquer dans l’espace public en tant qu’anthropologue. Ainsi, je n’ai pu qu’apprécier faire connaissance des membres du Tamis il y a environ quatre ans, association à laquelle j’adhère depuis trois ans désormais. J’ai déjà eu l’occasion de participer à certaines de ses activités, notamment autour du livre La main devant le soleil. Je présente ma candidature pour faire partie du Collège d’administration du Tamis en espérant apporter un concours pertinent et constructif à cette belle réalisation collective. Les valeurs et pratiques au cœur cette association ainsi que les perspectives qui s’y nourrissent me semblent aussi importantes que cohérentes et urgentes. Je serais ravie et honorée d’y contribuer.
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Collège Sciences & Techniques

Fleur Beauvieux :
Historienne vivant à Marseille depuis de nombreuses années, et passionnée de sciences humaines. Je suis l’action du Tamis depuis le début de l’association et m’intéresse particulièrement aux activités rattachées au Collège Sciences & Techniques, qui ont pour but de réfléchir aux outils conceptuels et à la posture du Tamis. Se remuer les méninges en collectif, en somme.

Emir Mahieddin :
Emir ou Chamil n´est pas un schizophrène, il a tout simplement deux prénoms qu´il utilise alternativement et de manière tout fait équivalente, et il parle de lui à la troisième personne pour ne plus faire qu´un de ce fourre-tout qui lui sert de caboche. Pour lui l´anthropologie n´est pas un métier, c´est une religion qui consiste à apprendre l´autre par corps (ce n´est pas une proposition…), c´est probablement pour cela qu´il s´intéresse à l´anthropologie du religieux. Après avoir enseigné sa religion à Aix-en-Provence et à Marseille – où il était lui-même étudiant – pendant presque 6 ans, et suite à l´obtention de son doctorat en 2015, il a travaillé comme surveillant dans un lycée, parce qu´il aime le contact avec les adolescents… (en tout cas, c´est ce qu´il a écrit dans sa lettre de motivation), les relations d´autorité pédagogique, notamment quand c´est lui qui a l´autorité, et bien sûr pour le salaire indécent ! Traversant une crise mystique en voyant la perspective d´un emploi dans l´ESR s´éloigner à chaque candidature refusée, il s´est installé en Auvergne pour fuir la société néolibérale… (ce qui était certes une illusion mais quel agréable mirage… on en reprendrait bien une dose, d´opium du peuple !) jusqu´au jour où son téléphone a sonné. À l´autre bout du fil, la Suède lui offrait de replonger dans le monde néolibéral en lui proposant ce qu´il ne pouvait refuser : repartir en quête de Dieu … C´est de ce paradis nordique où il neige encore fin avril qu´il vous écrit ce petit (long) mot pour renouveler son mandat au Collège Sciences & Techniques du Tamis, parce qu´il adore se prendre les orteils dans les tables basses… et le Contact avec les T’ami.e.s.
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Collège Transmission

 

Collège Édition & Expression

 

Salariées, volontaires, stagiaires